"Une superbe histoire de création artistique et d’amour contrariés, à la fois loufoque, musicale et émouvante. Par un jeune auteur au graphisme unique et accessible.
Norman est un musicien professionnel de jazz. On le découvre le soir de 1966 où sa copine Emily le quitte. À partir de ce moment, Norman devient à ses propres yeux incapable de jouer la moindre note correctement, et ne désire plus qu’une chose : arrêter la musique. Mais il est le seul à penser qu’il est mauvais. Engagé pour la tournée européenne, ce soir-là, il découvre qu’Emily est avec le producteur célèbre qui a engagé son groupe, et Norman embarque une jeune femme dans sa voiture, direction le désert. Mais il s’agissait d’un piège, il est kidnappé par une étrange secte prédisant la fin du monde pour le 31 décembre 1999. Avec d’autres musiciens enlevés, les membres de la secte les forcent à jouer une drôle de musique, jusqu’à l’arrivée de la police. La fuite des membres de la secte entraîne Norman dehors, dans le même désert." www.dargaud.com
Si l'on part du principe qu'il y a davantage de dessins dans une bédé que dans un livre, il arrive souvent qu'on feuillette un album pour y repérer le trait et l'ambiance graphique. Jazz Club, premier pas d'Alexandre Clérisse, révèle justement d'emblée un trait original, pas réaliste pour un rond mais très précis dans le détail, des personnages croqués comme des marionnettes, une mise en page frontale et rythmée. Autant dire que le truc saute aux yeux. Quant à l'histoire - un saxophoniste de club fuit l'Amérique des sixties pour se retrouver en France à la fin de 1999 - elle suit une mélodie qui la rapproche des improvisations de jazz, dans lesquelles tout peut arriver. Une découverte, un (grand) auteur à suivre, assurément. www.lexpress.fr
Norman est un musicien professionnel de jazz. On le découvre le soir de 1966 où sa copine Emily le quitte. À partir de ce moment, Norman devient à ses propres yeux incapable de jouer la moindre note correctement, et ne désire plus qu’une chose : arrêter la musique. Mais il est le seul à penser qu’il est mauvais. Engagé pour la tournée européenne, ce soir-là, il découvre qu’Emily est avec le producteur célèbre qui a engagé son groupe, et Norman embarque une jeune femme dans sa voiture, direction le désert. Mais il s’agissait d’un piège, il est kidnappé par une étrange secte prédisant la fin du monde pour le 31 décembre 1999. Avec d’autres musiciens enlevés, les membres de la secte les forcent à jouer une drôle de musique, jusqu’à l’arrivée de la police. La fuite des membres de la secte entraîne Norman dehors, dans le même désert." www.dargaud.com
Si l'on part du principe qu'il y a davantage de dessins dans une bédé que dans un livre, il arrive souvent qu'on feuillette un album pour y repérer le trait et l'ambiance graphique. Jazz Club, premier pas d'Alexandre Clérisse, révèle justement d'emblée un trait original, pas réaliste pour un rond mais très précis dans le détail, des personnages croqués comme des marionnettes, une mise en page frontale et rythmée. Autant dire que le truc saute aux yeux. Quant à l'histoire - un saxophoniste de club fuit l'Amérique des sixties pour se retrouver en France à la fin de 1999 - elle suit une mélodie qui la rapproche des improvisations de jazz, dans lesquelles tout peut arriver. Une découverte, un (grand) auteur à suivre, assurément. www.lexpress.fr
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